jeudi 12 novembre 2009

Ouverture des codes Microsoft à la communauté Libre

Il y a de cela quelque jours et d'après les informations de la presse spécialisée, on annonçait le déclin de l'empire Microsoft® face a la montée en puissance du cloud et grid computing (cf sujet precedent)
On assiste donc aujourd'hui à un revirement à 180° de Microsoft® qui annonçait tout recemment l'ouverture de 20 000 lignes de code sous GPL.
Si cette nouvelle n'est pas encore accueillie comme un veritable tsunami dans le monde de l'IT cela est due principalement à deux facteurs:
1. La relance d'une conccurence acharnée entre les adeptes du libres et les adeptes du propriétaire
2. La certitude que le libre prendra toujours un pas sur le propriétaire.

Comment expliquer aujourd'hui qu'une entreprise comme Microsoft® puisse faire volte face et décider a ouvrir la boite noire qu'est son système d'exploitation à la communauté Linux?
Si à une période Microsoft® avait décidé de faire cavalier seul, on n'avait qu'à voir les produits tels que Host Integration Server®, Biztalk® et beaucoup d'autres produits qui permettaient aux plateformes Microsoft d'échanger avec d'autres plateformes en occurrence Linux, Unix et IBM® pour ne citer que ceux là, le débat n'y est plus aujourd'hui car l'intégration des plateformes ne passent plus aujourd'hui par la mise sur pied de nouveaux produits mais bien sur par la virtualisation desdites plateformes.

Microsoft® avait annoncé la couleur avec Virtual PC qui n'est resté qu'un petit utilitaire permettant au Trainers de disposer d'un environnement experimental pour la formation à l'administration des systèmes microsoft windows, tandis que Vmware®, Xen® et KVM permettaient l'intégration de quasiment l'ensemble des systèmes d'exploitation avec des passerelles entres elles et des prototypage réseaux répondant aux normes TCP/IP et OSI.
De surcroit ces outils qui ont prouvés leur capacités a supporter des charges importantes de travail ont poussé Microsoft® a se faire violence et a faire un revirement inopiné et inattendue: l'ouverture des codes sources de Microsoft® à la communauté du libre.

Si ce premier pas de Microsoft® vers la communauté de l'open ne constitue qu'une infime entrée en la matière, force est de constater que ce pas risque être le premier d'une longue suite.
L'intégration des couches de virtualisation dans les composants matériels aurait pu pousser Microsoft® à convaincre les constructeurs d'incorporer une interface qui leur aurait empêcher d'ouvrir leurs codes à la communautés des développeurs.
En procédant autrement, on pourrait se convaincre que Microsoft® sonde les voies et moyens afin de permettre une meilleurs accessibilité a ses produits non pas seulement pour la communauté du Libre mais aussi pour le monde Universitaire avec bien sur les risques et avantages que cela comporte.
So, let's wait and see

regards,


mercredi 4 novembre 2009

Le cloud et le mobile computing ou la mort annoncée de Microsoft


Beaucoup d'expert du domaine s'attèle aujourd'hui a penser que la naissance des concepts grid et cloud signeront la mort de Microsoft et je suis tenté de penser que cela n'est que pure vérité.
Pour étayer cette nouvelle vision du monde rappelons certaines définitions clés
Cluster computing: Possibilité de faire exécuter par plusieurs ordinateurs la même tache.
Grid computing: Combinaison d'une multitude d'infrastructure issu de domaines différents pour l'exécution d'une même tache.
Cloud computing: Concept majeur faisant réference à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs repartis dans le monde entier et lié par un reseau à l'occurence internet.
A la lumière de toutes ces définitions il nous est logique de penser que l'ère est aujourd'hui à la virtualisation, le SaaS (Software as a Service), le PaaS (Plateforme as a service) et le IaaS (Infrastructure as a Service).
L'accès aux différents services se faisant désormais par un navigateur web.

Le concept d'informatique dans le nuage est comparable à celui de la distribution de l'énergie électrique. La puissance de calcul et de stockage de l'information est proposée à la consommation par des compagnies spécialisées. De ce fait, les entreprises n'ont plus besoin de serveurs propres, mais confient cette ressource à une entreprise qui leur garantit une puissance de calcul et de stockage à la demande.

Dans des perspective orientés client célà reviendrait a avoir des PC ou la puissance de calcul est puisée d'un serveurs, le logiciel est offert en tant que service comme celà est le cas avec Google ou vous avez une interface de saisie de texte avec toutes les options offert par Microsoft Office et un tableur qui rivalise Microsoft Excel.

La naissance du système d'exploitation Google qui annonce un OS leger et orienté web est là pour nous dire que Microsoft windows (lourd, buggant, chère) n'aura plus une raison d'etre.
Ceci est plus poignant si vous jetez un coup d'oeil sur les OS mobil ou Apple avec son Iphone et Google avec son Android on réussit a complètement reléguée Microsoft windows mobile sur un plan de looser. bref en terme de vente Microsoft fait pale figure devant les ventes de ses concurrents.
De surcroit, l'impossibilité de mettre sur pied un système d'exploitation serveur capable de supporter les gros et très gros système est aujourd'hui remis en question. si windows 2000, 2003 32 et 64 bits n'arrivent pas a s'imposer depuis des lustres devant les systèmes Unix, Mainframe, Linux et les autres distributions c'est n'est pas aujourd'hui qu'ils y arriveront. D'ailleurs sa difficultée a s'arrimer a la virtualisation et à l'intégration d'autres plateforme hétérogènes remet avec force sa reel capacité a faire du cloud computing et partant de s'imposer parmis les plus grands.


Sauf retournement de situation, la montée en puissance du cloud computing notamment avec la mise sur pieds des plateformes tels Amazon et des ERP/CRM en ligne pousseront sans doute Microsoft a se reveiller et a affronter les vérités de l'heure sous peine de connaitre une décheance qui ne sera qu'a la lumière de leur fabuleuse ascension.

cordialement


mardi 3 novembre 2009

Afficher le resultat de sa requête sur un fichier texte

Oracle est complexe c'est certain et nous ne reviendrons pas dessus mais je m'attelle un peu a vous filer les petites astuces qui vous permettrons d'être rapidement opérationnel tout en apprenant très rapidement.
Reconnaissons le traiter l'informations sur Oracle si nous n'avons pas les outils tel TOAD et SQL worksheet est erintant.
Les outils d'Access et Excel nous permettrons plus facilement d'atteindre le résultat demandé surtout si nous avons la pression du boss.
Une analyse à faire, des statistiques a publier, travaillez avec des non initiés d'une façon ou d'une autre nous serons obligé de sortir nos données et les manipuler par un outil tiers.

Vous avez votre requete et vos resultats s'affiche apres le select abc, bcd, efg where abc= and efg between ...
Simple il vous suffit de reprendre mais rassurer vous de faire ceci:
sql>set linesize 'specifie la longueur des lignes
sql>set pagesize 'specifie le nombre de ligne par page
sql>set heading 'empeche que les entetes de colonnes ne s'affiche après chaque enregistrement
sql>spool c:\ répertoire\resultat_requête.txt 'donne le fichier ou oracle écrira le résultat de la requête, le fichier répertoire doit être crée au préalable
sql>select abc, '|',bcd,'|', efg where abc= and efg between 3 and 25 'la requete proprement dite, nous ajoutons les traits de séparation afin de permettre une facile intégration dans un tablaeu ou une base de données.
sql>spool off 'nous arrêtons l'écriture et rendons le fichier disponible à la lecture par un autre outil.

vos commentaires sont la bienvenue

cordialement


Oracle Error :: ORA-12557 TNS:protocol adapter not loadable

Il vous arriveras sans doute d'installer des versions differentes d'Oracle sur le meme ordinateur et la mise a jour de vos variable d'environnement notamment le ORACLE_HOME et le ORACLE_SID ne vous permettra pas de resoudre ce problème.
Lorsque vous tombez donc sur cette erreur, sous réserve de la plateforme d'exploitation, il sera judicieux de preciser le nom complet du programme à executer
Sous windows ou linux
$sqlplus /nolog
sqlplus>conn xxxx/pwdxxx

Oracle Error :: ORA-12557 TNS:protocol adapter not loadable

Si les adeptes de Linux peuvent facilement resoudre le problème en ajoutant le nouveau PATH du bin les utilisateur windows seront eux obligé de taper le chemin explicite du repertoir de la commande:
C:\>d:\oracle\ora92\bin\sqlplus.exe mylogin/myloginpwd

Cette erreur est plus prononcé dès la version 10g d'oracle et vous la trouverez aussi si vous executez la version 10g ou 11g couplé avec oracle express

Vos commentaires sont la bienvenue

Cordialement