lundi 28 décembre 2009

Petite visite guidée


Derrière moi se trouve une vue de l'un de nos centre operationnels de traitement de données. Connexion par Fibre optique à 30 autres centres distants, 4 serveurs quadripro monté en SAN avec une capacité de plus de 18 teraoctets de stockage, routeur CISCO 3800 series (compatible ATM, MPLS) pour les fan de reseaux, Baie de disque et écran 32 pouce de monitoring reseau...etc
L'Afrique accuse sans aucun doute une importante fracture numérique mais il y'a ces choses dont parfois nous pouvons être fière.

Sincerely,

lundi 7 décembre 2009

ORA-01034: Oracle not available

Cette erreur est liée aux variable d'environnement et notamment ORACLE_HOME. Il est aussi possible que vous tombiez sur cette erreur si Oracle n'est pas lancé ou l'allocation mémoire de la SGA n'est pas suffisante.
Dans le cas d'espèce il est primordial de vérifier l'ensemble des variables d'environnement en checkant votre oracle_sid, votre oracle_home et l'etat du service si nous sommes sous windows.
Start-->Panneau de configuration-->Outils d'administration-->Services.
Vérifiez l'état du service Oracle qui peut être soit arrête, soit démarré.
La vérification de l'environnement passe par l'execution des commandes suivantes
Generalement le "bouncing" de votre listener après vous etre rassuré de son bon fonctionnement peut resoudre le problème.
Le cas echeant consulter l'etat de vos connexion avec la commande
$lsnrctl status
'vous permettant d'avoir une vue sur l'execution de vos services et les accès reseaux.


regards


Seminar on virtualization on REDHAT by VLP

On this day I attended a seminar on the virtualization on redhat 5 platform. This seminar organised by VLP who is actually the Redhat company representation in Cameroon and central africa region aim was to vulgarize virtualization concepts and to give to the IT community here in cameroon a vision of what virtualization is and should be.


If many of us have heard of virtualization few have had the opportunity to implement a huge production on this platform. The most common platform for virtualization known by each of us is vmware for sure, but I assure you that with virtualization embedded in future releases of RHEL 5 and RHEV, Oracle would gain in power because REDHAT is a native OS platform for Oracle.
As an Oracle database administrator I have implemented some test environment with Oracle 10g on vmware and REDHAT but was still doubtfull if a huge production environment would not suffer i/o because we mainly use Oracle and knowing that Oracle flushish the data directly on hard disk once the buffer is 1/3 full or some different conditions u probably know. The logical question I had to ask myself was if Oracle wouldn't suffer if some other process should first manipulate this data before writing them on disk.


I had this exchange with the boss of VLP M. Alex SANTON who gave me some explanation on the issue. For sure we may have a low waste of time but this is definitely insignificant if we take into consideration the load balancing we are benefiting from a virtual layer wish permit a better management of the memory and processing capacities.


I would later give you a lesson on SQL tuning because this is a very important issue on I/O and many database administrator take for granted that once sql retrieve a result they are expecting then everything is OK. That is wrong and totally wrong
VLP is partner with
-JBOSS
-HYPERIC
UNTANGLE
ZIMBRA
OPENBRAVO which i know and does more on ERP and CRM
ALFRESCO
LIFERAY
You may have a look on their web site: www.vlpopensource.com


Regards

jeudi 3 décembre 2009

CHROME OS: Web based vs Client based Operating Systems

Sans être un gros fan de Chrome surtout que je n’ai d’expérience  réelle que son navigateur Chrome qui accuse une tare pas digne d’un navigateur extrait des laboratoires de Mountain view car ne  permettant  pas la gestion des certificats alors qu’Internet Explorer, Mozilla, Opera et toute une batterie d’autres navigateurs n’ont eu aucune peine à l’incorporer ; force est tout de même de constater que l’avenir de l’informatique est voué à ce concept à savoir les Système d’exploitation orienté web.
Si 2010 est l’année ou nous aurons une version commerciale du très controversé Chrome OS de Google car c’est de lui qu’il s’est toujours agit, bien malheureux est l’africain qui pourra se réjouir de ce nième bond de la technologie.
Pour un bref aperçu

  • v Acer est le netbook® qui le supportera
  • v Il ne supportera aucun autre OS
  • v Pas de HardDisk
  • v Il ne fonctionnera que sur Internet (avec des clouds)
  • v

Ceci revient simplement à dire que l’entièreté de vos données sera stockées dans des clouds, vos applications proviendront des SaaS (Software as a Service)
A supposer que l’Afrique fasse un bon de 20 ans le temps nécessaire pour bénéficier d’une couverture internet à la hauteur de celle dont bénéficie la plupart des pays occidentaux aujourd’hui, cela reviendrais à faire des services Google® votre fournisseur par défaut d’applications (Tableur, Bureautique, Pdf, jeux...etc), votre fournisseur  par défaut de l’infrastructure de stockage (IaaS) et pour remplir la coupe l’intégration de vos plateformes si vous souscrivez a une solution entièrement en ligne (PaaS). 
Certes il y’aura compatibilité entre d’autres clouds non google mais je ne mettrais pas ma main au feu s’il fallait parier sur l’impartialité de Google. Pour simple illustration pourquoi facebook connect n’est pas incorporer à l’outil blogger et gmail ?


Imaginer ce scenario réalisable aujourd’hui… vous souscrivez à un espace de stockage sur Amazon pour vos données, les applications CRM et ERP sont des services auxquelles votre entreprise a souscrit auprès de votre fournisseur d’applications comme OpenERP® ou même la suite Oracle financial qui permet d’héberger la logique métier et/ou les règles de gestion sur leur serveurs d’applications. Les utilisateurs desdites applications qui disposeront du netbook® Acer munis du Chrome OS et du navigateur Chrome  (bien sur vous pourrez opter pour mozilla™ ou Opera™ et pourquoi pas IE™ ?) pourront facilement accéder et travailler avec un uptime assuré par des compagnies spécialisées.
Magnifique sans doute…

  1. Finis la lutte contre les virus, la configuration des Firewalls à IDS
  2. Finis les maintenances Système, la configuration des DMZ complexe, des passerelles et des configurations poussées des routeurs.
  3. Finis les sauvegardes des données et les migrations systèmes

Dès l’instant où l’on a accès à internet on a accès à un espace de travail hautement sécurisé avec à portée de main l’ensemble des outils nécessaires.
Certains pessimistes diront sans doute « Trop beau pour être vrai… » mais c’est réalisable tout ça!
Même dans nos pays du tiers monde, une solution pareille est facilement implementable avec un cout relativement réduit.
Un coup d’œil sur Amazon vous permettra de vous rendre compte du cout au Gigabits, sur le site d’OpenERP®, ERP5®, Oracle® et consort, vous vous rendrez compte que le TCO (Total Cost of Ownership) qui est le facteur déterminant pour l’acquisition d’une solution ERP/CRM est 6 fois moins du moment qu’il s’agisse d’une solution locale ou d’un service distant.


Fort de ce constat feriez vous tout de même le grand saut  en tant que CIO?


Proposeriez-vous pareille solution à votre CEO ?


Je répondrais à votre place au risque de me tromper la réponse est NON.


Amicalement,

jeudi 12 novembre 2009

Ouverture des codes Microsoft à la communauté Libre

Il y a de cela quelque jours et d'après les informations de la presse spécialisée, on annonçait le déclin de l'empire Microsoft® face a la montée en puissance du cloud et grid computing (cf sujet precedent)
On assiste donc aujourd'hui à un revirement à 180° de Microsoft® qui annonçait tout recemment l'ouverture de 20 000 lignes de code sous GPL.
Si cette nouvelle n'est pas encore accueillie comme un veritable tsunami dans le monde de l'IT cela est due principalement à deux facteurs:
1. La relance d'une conccurence acharnée entre les adeptes du libres et les adeptes du propriétaire
2. La certitude que le libre prendra toujours un pas sur le propriétaire.

Comment expliquer aujourd'hui qu'une entreprise comme Microsoft® puisse faire volte face et décider a ouvrir la boite noire qu'est son système d'exploitation à la communauté Linux?
Si à une période Microsoft® avait décidé de faire cavalier seul, on n'avait qu'à voir les produits tels que Host Integration Server®, Biztalk® et beaucoup d'autres produits qui permettaient aux plateformes Microsoft d'échanger avec d'autres plateformes en occurrence Linux, Unix et IBM® pour ne citer que ceux là, le débat n'y est plus aujourd'hui car l'intégration des plateformes ne passent plus aujourd'hui par la mise sur pied de nouveaux produits mais bien sur par la virtualisation desdites plateformes.

Microsoft® avait annoncé la couleur avec Virtual PC qui n'est resté qu'un petit utilitaire permettant au Trainers de disposer d'un environnement experimental pour la formation à l'administration des systèmes microsoft windows, tandis que Vmware®, Xen® et KVM permettaient l'intégration de quasiment l'ensemble des systèmes d'exploitation avec des passerelles entres elles et des prototypage réseaux répondant aux normes TCP/IP et OSI.
De surcroit ces outils qui ont prouvés leur capacités a supporter des charges importantes de travail ont poussé Microsoft® a se faire violence et a faire un revirement inopiné et inattendue: l'ouverture des codes sources de Microsoft® à la communauté du libre.

Si ce premier pas de Microsoft® vers la communauté de l'open ne constitue qu'une infime entrée en la matière, force est de constater que ce pas risque être le premier d'une longue suite.
L'intégration des couches de virtualisation dans les composants matériels aurait pu pousser Microsoft® à convaincre les constructeurs d'incorporer une interface qui leur aurait empêcher d'ouvrir leurs codes à la communautés des développeurs.
En procédant autrement, on pourrait se convaincre que Microsoft® sonde les voies et moyens afin de permettre une meilleurs accessibilité a ses produits non pas seulement pour la communauté du Libre mais aussi pour le monde Universitaire avec bien sur les risques et avantages que cela comporte.
So, let's wait and see

regards,


mercredi 4 novembre 2009

Le cloud et le mobile computing ou la mort annoncée de Microsoft


Beaucoup d'expert du domaine s'attèle aujourd'hui a penser que la naissance des concepts grid et cloud signeront la mort de Microsoft et je suis tenté de penser que cela n'est que pure vérité.
Pour étayer cette nouvelle vision du monde rappelons certaines définitions clés
Cluster computing: Possibilité de faire exécuter par plusieurs ordinateurs la même tache.
Grid computing: Combinaison d'une multitude d'infrastructure issu de domaines différents pour l'exécution d'une même tache.
Cloud computing: Concept majeur faisant réference à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs repartis dans le monde entier et lié par un reseau à l'occurence internet.
A la lumière de toutes ces définitions il nous est logique de penser que l'ère est aujourd'hui à la virtualisation, le SaaS (Software as a Service), le PaaS (Plateforme as a service) et le IaaS (Infrastructure as a Service).
L'accès aux différents services se faisant désormais par un navigateur web.

Le concept d'informatique dans le nuage est comparable à celui de la distribution de l'énergie électrique. La puissance de calcul et de stockage de l'information est proposée à la consommation par des compagnies spécialisées. De ce fait, les entreprises n'ont plus besoin de serveurs propres, mais confient cette ressource à une entreprise qui leur garantit une puissance de calcul et de stockage à la demande.

Dans des perspective orientés client célà reviendrait a avoir des PC ou la puissance de calcul est puisée d'un serveurs, le logiciel est offert en tant que service comme celà est le cas avec Google ou vous avez une interface de saisie de texte avec toutes les options offert par Microsoft Office et un tableur qui rivalise Microsoft Excel.

La naissance du système d'exploitation Google qui annonce un OS leger et orienté web est là pour nous dire que Microsoft windows (lourd, buggant, chère) n'aura plus une raison d'etre.
Ceci est plus poignant si vous jetez un coup d'oeil sur les OS mobil ou Apple avec son Iphone et Google avec son Android on réussit a complètement reléguée Microsoft windows mobile sur un plan de looser. bref en terme de vente Microsoft fait pale figure devant les ventes de ses concurrents.
De surcroit, l'impossibilité de mettre sur pied un système d'exploitation serveur capable de supporter les gros et très gros système est aujourd'hui remis en question. si windows 2000, 2003 32 et 64 bits n'arrivent pas a s'imposer depuis des lustres devant les systèmes Unix, Mainframe, Linux et les autres distributions c'est n'est pas aujourd'hui qu'ils y arriveront. D'ailleurs sa difficultée a s'arrimer a la virtualisation et à l'intégration d'autres plateforme hétérogènes remet avec force sa reel capacité a faire du cloud computing et partant de s'imposer parmis les plus grands.


Sauf retournement de situation, la montée en puissance du cloud computing notamment avec la mise sur pieds des plateformes tels Amazon et des ERP/CRM en ligne pousseront sans doute Microsoft a se reveiller et a affronter les vérités de l'heure sous peine de connaitre une décheance qui ne sera qu'a la lumière de leur fabuleuse ascension.

cordialement


mardi 3 novembre 2009

Afficher le resultat de sa requête sur un fichier texte

Oracle est complexe c'est certain et nous ne reviendrons pas dessus mais je m'attelle un peu a vous filer les petites astuces qui vous permettrons d'être rapidement opérationnel tout en apprenant très rapidement.
Reconnaissons le traiter l'informations sur Oracle si nous n'avons pas les outils tel TOAD et SQL worksheet est erintant.
Les outils d'Access et Excel nous permettrons plus facilement d'atteindre le résultat demandé surtout si nous avons la pression du boss.
Une analyse à faire, des statistiques a publier, travaillez avec des non initiés d'une façon ou d'une autre nous serons obligé de sortir nos données et les manipuler par un outil tiers.

Vous avez votre requete et vos resultats s'affiche apres le select abc, bcd, efg where abc= and efg between ...
Simple il vous suffit de reprendre mais rassurer vous de faire ceci:
sql>set linesize 'specifie la longueur des lignes
sql>set pagesize 'specifie le nombre de ligne par page
sql>set heading 'empeche que les entetes de colonnes ne s'affiche après chaque enregistrement
sql>spool c:\ répertoire\resultat_requête.txt 'donne le fichier ou oracle écrira le résultat de la requête, le fichier répertoire doit être crée au préalable
sql>select abc, '|',bcd,'|', efg where abc= and efg between 3 and 25 'la requete proprement dite, nous ajoutons les traits de séparation afin de permettre une facile intégration dans un tablaeu ou une base de données.
sql>spool off 'nous arrêtons l'écriture et rendons le fichier disponible à la lecture par un autre outil.

vos commentaires sont la bienvenue

cordialement


Oracle Error :: ORA-12557 TNS:protocol adapter not loadable

Il vous arriveras sans doute d'installer des versions differentes d'Oracle sur le meme ordinateur et la mise a jour de vos variable d'environnement notamment le ORACLE_HOME et le ORACLE_SID ne vous permettra pas de resoudre ce problème.
Lorsque vous tombez donc sur cette erreur, sous réserve de la plateforme d'exploitation, il sera judicieux de preciser le nom complet du programme à executer
Sous windows ou linux
$sqlplus /nolog
sqlplus>conn xxxx/pwdxxx

Oracle Error :: ORA-12557 TNS:protocol adapter not loadable

Si les adeptes de Linux peuvent facilement resoudre le problème en ajoutant le nouveau PATH du bin les utilisateur windows seront eux obligé de taper le chemin explicite du repertoir de la commande:
C:\>d:\oracle\ora92\bin\sqlplus.exe mylogin/myloginpwd

Cette erreur est plus prononcé dès la version 10g d'oracle et vous la trouverez aussi si vous executez la version 10g ou 11g couplé avec oracle express

Vos commentaires sont la bienvenue

Cordialement



dimanche 13 septembre 2009

TNS-12560: TNS : erreur d'adaptateur de protocole

Cette erreur tout administrateur de BD Oracle là connait. Au début elle peut vous consommer des jours afin de là resoudre mais avec l'experience elle s'avère n'etre qu'un petit element qui parfois échappe a votre vigilance: LES VARIABLES D'ENVIRONNEMENTS;

Oracle pour s'executer parfaitement mérite que certains variables soient clairement définies notamment le ORACLE_HOME et le ORACLE_SID, il y' en a plusieurs d'autres mais votre problème tournera toujours autour de ces deux variables.

selon votre environnement à savoir linux ou windows les approches sont differentes.
Un c:\set ORACLE_HOME=your_oraclehome et c:\set ORACLE_SID=your_oraclesid fera l'affaire. Si vous disposez de plusieurs instances et ne voulez pas modifiez l'accès a votre base en production par exemple proceder comme suit:
$sqlplus / nolog
sqlplus>conn userid/userpwd@service_name

Ceci vous permettra de vous passer d'une écriture dans le registre de l'instance à laquelle vous souhaiter vous connecter.

Dans un environnement linux, il vous faudra penser à exporter ces variables par la suite.

La preuve que vos variable d'environnement sont mal positionné vous seras révélés en tapant la commande:
$tnsping service_name
Qui est en fait un test du service oracle. Comme un ping sur une adresse.
S'il s'execute vous verrez le temps d'execution si ces variables sont OK et le cas écheant l'erreur vous disant pourquoi il est impossible de resoudre le service.

La certification oracle

Le processus de certification Oracle n'est pas non seulement chère mais il est aussi difficile. En vous referant aux trainings sur les sites, vous vous rendrez facilement compte que les couts oscillent toujours dans l'ordre de 1 500 000 à 3 000 000 si vous vous decidez a devenir OCP (Oracle Certified Proffessional). Les centres agrées des examens au Cameroun est Microlog, Sersys qui vous facturera l'examen à 150 000 frs cfa. Il vous faudra passer deux examens pour devenir OCA à savoir un examen sur le SQL qui est le langage de manipulation des données et le premier examen d'administration. Deux autres examens vous permettrons de devenir OCP. Ces couts sont hors mis la formation. La formation fournie par un certifié lui sera dans la marge des 500 000 frs (négociable bien sur) cfa par examen avec la garantie bien sur que vous reussirez sinon ça ne vaut pas la peine d'en depensez tant. Mais toutefois il testera vos connaissances primaires avant de vous acceptez comme "disciple".
Pour en savoir plus sur les certifications Oracle, bien vouloir consulter le site d'oracle http://education.oracle.com/pls/web_prod-plq-dad/db_pages.getpage?page_id=50&p_org_id=1001〈=US ou m'ecrire à mon adresse epiengene@gmail.com ou epiengene@yahoo.fr et je me ferais un plaisir de vous guider vers la suprématie dans la maitrise des technologies Oracle.

Bienvenue/Welcome message

Juste pour vous souhaiter la bienvenue sur ce blog qui est en fait le portail de la communauté africaine en parlant des NTICs en general et d'Oracle qui est aujourd'hui le plus gros SGBDR au monde en terme de complexité, de fonctionnalité et d'expertise.

Just to wish you a warm welcome on this blog wich main objectif is to highlight and exchange knowledge and difficulties on IT in general and Oracle database in particular. Oracle been today the biggest DBMS in the world in terms of complexity, fonctionalities and expertise.